La plus grosse gaffe, évidemment volontaire, c’est d’avoir diffusé l’identité et domicile de Mohamed Merah dans les médias, pour qu’il se transforme en forcené et pouvoir le tuer.
Il aurait été très facile de l’arrêter par surprise tant qu’il ne se méfiait pas.
Une fois mort, pas de procès, pas d’enquêtes, pas de vérification, il est définitivement coupable.
Aucune sanction n’a été prise contre les fonctionnaires qui ont révélé les informations sur son identification et fait échouer lamentablement son arrestation. Rappelons que le rôle de la police est de présenter les présumés criminels aux juges, pas de les condamner à mort sans jugement et de les exécuter.
Donc c’était voulu par les autorités.