Atterrissage en douceur au Moyen-Orient ?
26 octobre 2017 03:05, par matrix le gauloisLes fans de Trump, cette espèce menacée et en voie de disparition
Je ne me sens pas menacé, merci bien et je ne doute toujours pas du bon fond de Trump :
1) La continuation de l’impérialisme est en grande partie dû à l’état profond (les 2 grands partis qui se sont ligués contre lui en sont une preuve flagrante) et non de sa faute.
2) Première mesure en arrivant au pouvoir : coup d’arrêt au traité de libre-échange trans-pacifique. Rien que pour ça, ça valait le coup qu’il soit élu.
3) La hausse verbale contre la Corée du Nord sert à atteindre le président Chinois qui s’est mué dernièrement en champion du libre-échange et désolé mais si on veut une relocalisation, on devra forcément en passer par une confrontation avec certains pays émergents (la confrontation n’étant pas une guerre mais bien une négociation musclée où l’on tape du poing sur la table).
4) Nombre de ses décisions étaient guidées par le bon sens, si rare en notre époque de politiquement correct totalitaire et de son pendant extrémiste utile : le fait de renvoyer les Black Lives Matter, les antifas et les skinheads du KKK dos à dos lors des violences de Charlottesville.
5) Les journalistes continuent de le conspuer : preuve qu’il n’est pas vraiment rentré dans le rang (regardez Aung San Suu Kyi qui est passée aux yeux de nos médias de la sainte à la pire des nazi juste parce qu’elle défend son pays contre les barbus) ; tout ennemi de BFM TV doit être potentiellement au fond quelqu’un de bien.
6) Tant qu’Obama était au pouvoir : les wahabbites régnaient en Arabie-Saoudite & Daech recevait des armes. Depuis que Trump l’a chassé : la République Arabe et Socialiste de Syrie reconquière son territoire national.
7) Qu’on le veuille ou non : ça aurait été pire avec Clinton, c’est un fait ! La raison pour laquelle les russes regrettent que Clinton ne fut pas élue, c’est, je pense, qu’ils auraient voulu voir une représentante du système présente pour se casser les dents sur la nouvelle réorganisation du monde (notamment en Syrie) alors qu’avec Trump, cela permettrait à l’état profond d’arguer qu’un rebelle au NOM ferait entrer les USA en crise et que ces gens ne devraient pas être élus.
8) Et surtout, il n’est pas Emmanuel Macron. Ça ne vous suffit pas à vous ?
Non, vraiment, je ne regrette pour rien au monde cette nuit électorale de l’automne 2016. Lorsque j’ai le bourdon, je me repasse les pleureuses du plateau de Yann Barthes et ça fait ma journée.
Merci à Trump pour ça !