Pour l’Académie française, l’écriture inclusive est un "péril mortel"
28 octobre 2017 12:26, par FaridDominique
Raphaël Enthoven, 3’20" : « chaque mot est une cicatrice, chaque mot porte la trace de l’histoire qui lui a donné le jour... ».
Hervé Ryssen, Les Espérances planétariennes, p. 51 : « [...] l’américain Gary Davis, en 1947, avait déchiré son passeport pour marquer son désir de voir disparaître toutes les frontières. A cette époque, le ministre Georges Bidault s’était écrié : "Les frontières sont les cicatrices de l’histoire" : or, ajoute Albert Jacquard avec beaucoup de jugement et d’à-propos, "les cicatrices sont faites pour disparaître." »
Je taquine un peu, c’est vrai, l’argumentaire d’Enthoven est bon, la plaidoirie excellente. Mais...