Il y a 5 000 ans, le Sahara était vert et habité
30 octobre 2017 23:39, par TômeHacène Arezki
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Enfin des arguments plus ou moins valables ! Je veux bien que l’on ne soit pas d’accord avec moi, à condition de tenter de me montrer en quoi je me trompe. Et il y a une grande différence entre dire "je pense que vous vous trompez" et répéter sans arrêt "vous dites n’importe quoi" sans argumenter.
Si j’ai parlé de votre livre, c’est pour souligner le fait que vous êtes engagé, que vous avez comme une cause à défendre et que vous bénéficiez donc d’une certaine écoute et notoriété. Il suffit de taper votre nom sur Google pour voir défiler les pages vous concernant. Vous intervenez donc sur cette publication en terrain connu, en tant qu’expert non déclaré (en effet, vous n’avez pas parlé de votre livre, raison pour laquelle moi j’en ai parlé, sans avoir jamais prétendu l’avoir lu) et vous avez donc un avantage sérieux pour orienter la discussion par rapport aux gens moins avertis qui suivent ce débat. Vous profitez de votre situation pour donner des leçons un peu faciles à tout lemonde et pour déclarer péremptoirement que ceux qui ne partagent pas votre opinion et doutent de votre théorie ou ont d’autres explications disent n’importe quoi ou mélangent tout. Si par ailleurs vous ne gagnez pas d’argent j’en suis désolé pour vous. C’est dommage d’investir tant d’énergie et de temps pour une cause sans pouvoir en vivre en tout ou en partie.
Vous dites ne pas propager de thèse conspirtationiste et rester dans le débat scientifique (officiel donc ?). Mais le titre de votre livre "Climat, mensonges et propagande" fait quand même un peu complotiste.
Et, encore une fois, je ne mélange pas tout. Je réfléchis aux rapports problématiques et antagonistes de l’homme et de son environnement à tous les niveaux : scientifique, religieux, historique, philosophique, poétique et métaphysique. Je crois au péché originel, je crois que l’homme est sorti de la Nature, qu’il a voulu la dominer et que les problèmes ont commencés dès ce moment-là. Je crois non seulement que l’humanité court à sa perte dans un avenir proche mais je pense également que cette situation peut mettre en péril l’avenir même de toute vie sur Terre.
Je pourrais vous citer du Nietsche, Baudelaire, Dostoievski, Kierkegaard, Shakespeare, la Bible ou le Coran pour illustrer mon propos, mais je vais vous citer de mémoire Hubert Reeves, le poète de l’astrophysique :