Affaire Kennedy : l’assassin d’Oswald, "traducteur pour la presse israélienne"
30 octobre 2017 21:40, par MivilleMalheureusement c’est une nouvelle demi fausse et surtout fausse en fait. Tout s’explique plus simplement : l’Israël d’alors se présentait à la face du monde comme le pays socialiste utopique des kibboutz comptant sur l’appui et le travail bénévole des jeunes communards du monde entier. Kennedy obéissait alors aux directives du clan Bronfman (juif conservateur anglo-canadien) qui était le sien à savoir qu’Israël était un pays encore trop bébé, trop peu mature ou trop aux mains de jeunes chevelus, trop sincèrement croyant dans les utopies juives vendues aux goys pour mériter de se voir confier l’administration de l’énergie nucléaire.
Israël et les communes beatniks de Londres et San Francisco c’était un peu la même chose et les mêmes gens pour de bons bourgeois juifs new-yorkais. Les sionistes d’establishment d’alors avaient pour capitale New York, non pas Tel Aviv, c’est le Parti Démocrate sudiste et non pas le Likoud qui leur servait de formation de ralliement, et ces gens étaient plus que satisfaits de JFK : quand JFK promettait de n’embaucher que "the best and the brightest" il sous-entendait des juifs seulement et c’est bien ce à quoi on assista, l’expulsion des anglo-protestants traditionnels de cette administration au profit d’une communauté autrement mieux organisée.
JFK se considérait lui-même comme juif autant que catholique et entendait bien symboliser la soumission de l’Église de Rome à la cause juive comme le début le plus prometteur du temps nouveau.
Quoi qu’il en soit le problème était bien académique, bien théorique : l’énergie nucléaire américaine était un monopole juif à tous les niveaux, tout particulièrement de l’enseignement de cette discipline comme de la propriété des installations. Ce n’est pas une décision présidentielle américaine qui allait attenter à cet état de choses. JFK obéissait aux mafias juives qui étaient encore méfiantes envers les jeunes sionistes et n’étaient même pas certaines que cet état servît leurs intérêts (il leur a fallu attendre la victoire de 1967 voire la guerre du Kippour pour se faire une idée plus favorable).