Les casseroles de Madame Clinton : suite, mais certainement pas fin
2 novembre 2017 09:03, par et-nous-alorsIl est inscrit dans la loi usaméricaine que faire "intervenir des non-Américains pour influencer le cours des choses en politique est un crime fédéral passible de trente ans de prison". Si ce crime est prouvé, "toute l’ancienne direction du parti démocrate, avec Hillary en tête et monsieur Comey juste derrière, pourrait se retrouver en taule.".
Nous savons que le sarkö, qui prétendait admirer l’Usamérique et prendre exemple sur cette puissance, a fait passer un rectificatif à notre constitution française, supprimant le crime de haute trahison.
C’est donc que lui ou ses commanditaires, ceux-là-même qui lui ont trouvé des successeurs, se préparaient ou perpétraient quelque chose de ce genre.
Et en effet la liste est longue. Rien ne les a arrêtés dans leur "projet", surtout pas la constitution française.
Toujours en Usamérique, quand la "corruption touche à des actifs stratégiques [comme l’uranium...], à l’accusation de corruption s’ajoute celle de trahison au profit d’un état étranger présumé hostile. Et là, la sanction peut aller jusqu’à la peine de mort (voir les Rosenberg)".
En ce qui concerne la France, il s’agit de définir la notion d’"Etat étranger présumé hostile". L’amitié affichée, l’OTAN imposée, c’est une chose. Les sales coups, dans le dos ou non, économiques ou guerriers, portant sur des secteurs stratégiques français, une autre.