Bonsoir, la rédac’.
J’ignore quelle est la procédure idoine pour glisser un mot aux humains derrière l’écran qui produisent ce qui constitue ma nourriture quotidienne ; ma dégustation de jus de raisin des coteaux du bergeracois infléchit, ce soir, mes envies et capacités à investiguer. J’utiliserai donc ce coin de nappe pour vous faire signe.
Je dois vous remercier.
Je ressens le besoin de vous faire savoir que le travail de fourmis vietnamiennes que vous produisez n’est pas vain et qu’il est même hautement précieux pour des types comme moi ! Merci pour vos heures d’errances dans les galeries du vaste Ouèbe pour remonter à la surface, par exemple, ce genre de travail.
Vous œuvrez à décrotter les cerveaux merdeux, à engraisser les esprits malingres et à tailler, peut-être, de futurs diamants.
Merci, la compagnie !
Sincèrement.
Un Rochelais échoué à Bergerac.