Déclaration Balfour, la violence du texte
3 novembre 2017 23:01, par Sedetiam
Pour les plumitives dans le genre de Véronique Laroche-Signorile, exite-t-il seulement le hashtag #BalanceTonEncuIee ?
Parce que ce papelard (ladite Déclaration et non le torchon de la Véro) vaut autant que si c’était un chef Papou de la Papouasie Nouvelle Guinée qui avait écrit depuis son arbre miamba, un torche-cul sur papier local, indiquant qu’il cédait l’Arizona aux Navajos, si ces autres plumutifs du chef les aidaient à virer les Néerlandais.
Balfour, ce n’est pas seulement « l’origine du conflit israélo-palestinien qui perdure depuis des décennies », madame, c’est la consécration écrite du deal de 1916 qui faisait entrer les USA dans la première guerre mondiale (alors que des pourparlers de paix étaient dans les rouleaux) , première guerre qui engendra donc la seconde dont il faut comptabiliser les morts depuis 1916, auxquels vous ajouterez ceux, contemporains : soit de 1947 à nos jours, y compris les victimes du terrorisme et des guerres en Palestine et au Moyen-Orient (depuis les années 20).
Et ailleurs !
Sans parler des vicissitudes.
Tant que c’est pour Sion.