Malaise pendant le débat du Figaro sur Daech
4 novembre 2017 18:58, par Lord Polanyi
Clément Fayol admet toutefois qu’Israël a considéré, au moment de l’émergence de Daech, qu’il s’agissait d’une entité manipulable qu’il pouvait essayer de contrôler pour obtenir ce qu’il voulait en Syrie. Donc le bottage en touche aurait pu être plus total que ce qu’il est. Mais c’est vrai que son propos reste tout de même confus et superficiel, en dépit de l’importance de la question. Quant au mutisme de Georges Malbrunot, sans commentaire !