Un an de mandat pour Trump : un an de harcèlement médiatique (entre autres)
8 novembre 2017 21:35, par vincesamprasLe débat : de voir ses bobos avec leur petite voix analyser un pays qu’ils ne connaissent pas à part les centre-villes de Washington et de New York me fait toujours penser à un sketch des Inconnus. Bergoff est le spécialiste de Trump en Europe, car il a pu lui parler pendant 40 minutes en tête-à-tête. Décidément, ces gens ne comprennent pas encore ce qu’il leur ait arrivé, car le réel leur ait inconnu.
Voici un petit résumé après un an de Trump :
Merkel s’est prise une veste aux élections. Elle est en fin de règne. Pour quelqu’un qui devait reprendre le flambeau de la lumière du monde il y a un an, elle se retrouve avec un parti anti-immigration comme troisième force politique du pays.
Les Autrichiens et les Tchèques ont suivi les Polonais, les Hongrois et les Slovaques : on vote national et anti-UE.
Les Anglais ont viré les derniers Tories mondialistes du centre-ville de Londres aux dernières élections.
L’Espagne est en voie de dislocation.
L’Italie voit Berlusconi, ami personnel de Poutine, revenir dans la course.
Le Portugal est en reprise économique grâce à la défiscalisation des riches résidents étrangers, comme Madonna qui a "migré" à Lisbonne dernièrement, car elle trouve ce pays merveilleux.
Les taux de satisfaction des dirigeants "autoritaires" à la Trump atteignent des sommets : Poutine en Russie, Duterte aux Phillipines à plus de 80 pour cent.
Pour se maintenir au pouvoir, les élites françaises mondialistes ont provoqué un coup d’état et trafiqué les élections afin de mettre un employé de banque à l’Elysée qui n’a enrayé ni les déficits publics et commerciaux, ni le chômage.
Aux Etats-Unis, le pays est en plein boom économique. La bourse atteint des records. Le taux de chômage baisse de mois en mois. Toutes les élections nationales intermédiaires ont été remportées par des Républicains pro-Trump (la dernière dans l’Utah mardi soir malgré un concurrent conservateur indépendant fils d’un ancien sénateur républicain). Bien entendu, aucun écho, car la presse fait ses choux gras avec les élections de gouverneurs démocrates en Virginie et au New Jersey (états qui ont voté massivement pour Hillary Clinton)...c’est comme si on disait que la gauche tremble car la droite a gagné des élections intermédiaires à Neuilly et dans le XVIème.
Oui, le monde a changé et il ne va pas s’arrêter. La révolution populiste est...en marche.