Holocauste et immigration : Karl Lagerfeld symbole de la schizophrénie allemande ?
13 novembre 2017 09:33, par lkIl semble que KL se soit enrichi sur la reprise après guerre de maisons de couture familiales prestigieuses, dans les meilleures conditions pour lui-même et ses amis, sans aucune considération pour les créateurs précédents : Chanel, Fendi. Décrétées démodées, voire mortes, il se targue d’en avoir fait quelque chose, avec sa créativité et le rachat préalable pour pas grand chose par lui ou ses amis.
Etrange Allemand : en 1954 son père industriel allemand (donc ruiné par la guerre, ou enfui, logiquement) lui paie une vie de luxe à Paris, si on en croit sa bio.
Un jour qu’on lui offrait une bière (il avait 18 ans) dans l’usine paternelle en Allemagne d’avant-guerre, il répondit : "je ne bois que du champagne".
Et on nous bassine avec Marie-Antoinette et sa brioche (qui n’a jamais rien dit de tel).
Il a dit aussi "Dans le business de la mode, on doit vendre sa propre mère”
https://www.irishtimes.com/life-and...
Sa relation la plus durable a péri du sida dans les années 80. Il a dessiné des modèles aussi pour Monoprix (sans griffe).
On lui doit la découverte de la belle Claudia Schiffer, et la rénovation dans le cadre du mécénat d’une fontaine historique de Rome (Trevi).
Alicia Drake a écrit un livre sur le personnage :"The Beautiful Fall" qui n’a pas plu à Karlitos : il y est décrit comme plutôt mythomane et doué pour l’auto-promotion, l’auto-agrandissement, et sa famille comme socialement moyenne et bosseuse. KL qui en France fait la pluie et le beau temps n’a pas pu en empêcher la parution.