La miss moche n’a pas de hanches, pas de taille, de larges épaules, le torse en triangle, la base en haut. Ses traits choquent parce qu’ils sont épais (nez invraisemblable : en carton bouilli ?) mais surtout parce que ce sont des traits masculins. Sur la photo qui montre l’individu entre deux vraies jeunes femmes, on ne voit pas les cheveux du phénomène et la rudesse des traits en ressort d’autant mieux.
Ouais, foutage de gueule en pleine poire.
Ceci corrélé à la baisse du QI finlandais depuis les années 90 dénote l’emprise de l’UE sur ce pays, bien capté par l’écrivain Arto Paasilinna.
Il s’agit ici de se moquer du peuple finlandais, en décrétant sa beauté féminine (lapone ou scandinave, ou un peu les deux) inférieure à celle d’une immigrée d’Afrique, et surtout en ridiculisant l’homme historique finlandais : bûcheron, soldat, chasseur, marin, agriculteur, entreprenant, vaillant, toujours prêt à construire en s’organisant. Tiens, homme libre : voilà la compagne que nous te réservons, même pas capable d’enfanter.
Quoi de mieux qu’une follasse moche et obscure élue miss Beauté finlandaise, pour se moquer du peuple, et en passant de tous les Européens ?