Dans l’après-UE, après bien des souffrances, une grande pauvreté et une réduction drastique de la population (populace ?), bien des églises en ruines ou démolies, des gens auront peut-être chez eux une photo de Mitterrand, allez savoir. Le communisme est une religion, il y aura des survivances. On se rappellera qu’on se payait des tas de choses à crédit, que les coffres béants, ouverts à tous de la nation assuraient le luxe au pékin, en plus du nécessaire. Ni Hollande ni Sarkö ni Macron n’auront cet honneur toutefois.
Dans les camps sibériens les pires (peut-être la norme après tout), si on en croit plusieurs rescapés lettré, l’espérance de vie était en moyenne de quatre à cinq ans environ, pour un homme valide, un Russe bien adapté aux frimas. On mourait de maladies diverses induites par la faim chronique, le froid. Les places des anéantis étaient renouvelées aussitôt, ça a dû faire du monde à la longue. Les trop-malades incapables de bouger étaient admis à l’infirmerie pour quelques jours, et hop, retour au turbin.
Oui le système pervers avait besoin d’esclaves productifs. Ils produisaient tant qu’ils le pouvaient, et au suivant ! Pour zéro salaire, encore plus fort que le "libéralisme".
La méchanceté fonctionne sans raison valable, souvent, pour l’amour de la méchanceté. Il est tellement plus intelligent de compter sur la capacité d’entreprendre et de produire de l’homme LIBRE.