Macron qualifie de "crime contre l’humanité" l’esclavage en Libye
23 novembre 2017 11:32, par zouzouTrouvé ce jour sur le Salon Beige :
"A quoi sert la pseudo-révélation sur l’esclavage en Libye ?
Réponse de Réinformation.tv :
"[...] Le fait qu’elle soit passée par CNN, l’un des principaux vecteurs de la propagande mondialiste, est déjà un signal d’alerte. Le contexte nous raconte la suite. L’Europe, ses votes le montrent, en Allemagne et en Autriche notamment, ne croit plus à la propagande mondialiste sur les migrants. Elle sait, par des statistiques officielles que les demandeurs d’asile ne sont pas en majorité des réfugiés mais des immigrés clandestins pour raisons économiques. Elle a vu, notamment à Cologne, les ravages qu’ils commettent, en particulier sexuels. Aussi, de même que l’affaire Weinstein a servi de diversion aux viols massifs commis par les migrants, de même la belle histoire de l’esclavage en Libye a pour objectif de faire pleurer Margot pour que l’Europe ouvre à nouveau ses portes et son portefeuille.
Les médias ne laissent nul doute à cet égard. RFI résume leur argumentaire avec clarté. « La route d’Afrique du Nord est infernale depuis bien longtemps pour ceux qui cherchent à fuir vers l’Europe » (...).
(...)Cela revient à dire que l’Europe est deux fois responsable de l’esclavage qui sévit en Libye : par le désordre qu’elle a semé là-bas, par ses velléités de fermer ses frontières au flot des migrants. La conclusion coule de source. L’Europe doit réparer deux fois : en rouvrant ses frontières aux migrants sans le moindre frein (malgré les « électeurs » qui poussent à des contrôles sévères aux frontières), et peut-être en intervenant directement en Libye.
L’argument, et le terme « coincés » sont repris par la presse populaire. Il est frappant que ne sont pas du tout évoqués, dans le parcours des migrants ni dans la chaîne des responsabilités, les ONG en cheville avec les passeurs. N’est pas évoquée non plus la politique migratoire de l’Europe, ses lois sociales qui agissent sur les migrants économiques comme des pompes aspirantes."(...)