À la redécouverte des écrits anticolonialistes et protectionnistes d’Adolf Hitler
27 novembre 2017 09:44, par goy prideUne sagesse et lucidité hors norme et à mille lieues de ce qui est officiellement admis sur le personnage.
L’impossibilité d’une conciliation franco-germanique était inévitable. Les trois grandes nations européennes, la France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne, se sont construites en s’opposant mutuellement. La France a toujours préféré comploté avec son ennemi Anglais contre ses frères de sang allemands parce que le monde germanique partage un frontière terrestre directe avec la France (menace immédiate), alors que nous sommes séparés de l’ennemi anglais par la Manche. L’Allemagne a toujours été perçue par l’oligarchie française comme l’ennemi immédiat duquel la France est artificiellement séparée par une frontière purement arbitraire et précaire.
Le paradigme d’Hitler était totalement conditionné par la situation de l’Allemagne : nation et peuple prestigieux dont la volonté de puissance était étouffée dans un espace vital trop étroit et pas assez pourvu de matières premières, à l’inverse des nations à échelle continentale comme les USA, la Russie ou même la Chine. A vrai dire cette situation est la même pour les autres peuples d’Europe. Les Anglais par exemple sont eux mêmes enfermés sur leurs îles ridiculement petites par rapport au potentiel de développement du peuple qu’elles portent...
Le problème avec l’idée d’une Europe unie c’est que cela va radicalement à l’encontre de l’essence même du monde européen, de ce qui a fait notre prestige et puissance, et cela n’arrange en rien le problème initial : étroitesse de l’espace vital et manque de ressources.
La diversité culturelle de l’Europe, son génie technique, scientifique, artistique...est le fruit de la division et non de l’union. C’est parce que l’Europe s’est divisée en une multitude de petites nations et royaumes jaloux de leur souveraineté qu’est apparu un phénomène d’émulation collective où chacun rivalisait de créativité, d’ardeur au travail...afin de justifier et maintenir sa souveraineté. Si Rome avait réussi ce que la Chine impériale a accompli avec succès, peut être qu’il n’y aurait jamais eu de révolution industrielle et que l’Europe unifiée, à l’image de la Chine, se serait maintenu dans le paradigme traditionnel du temps long duquel sont absents l’idéologie du progrès et le concept révolutionnaire.