ABCD de l’égalité : le ministre Blanquer corrige le petit journaliste Demorand
28 novembre 2017 21:42, par JulotCe sujet m’agace au plus point, car il ne révèle rien des intentions sous jacentes de ceux qui nous gouvernent, en phase avec ces officines pseudo internationales tel l’OMS... et qui préconisent des choses en matière d’égalité homme-Femme (Gender) pour le moins douteuse.
Il n’y a pas d’égalité entre deux sujet aux caractères spécifiques différents et complémentaires, point barre !
Que l’on songe à améliorer le droit (qui s’accompagne de devoir cela va de soi) dans le domaine du travail (salaire identique pour poste identique, droit spécifiques relatifs à la maternité et à la paternité....), je n’ai rien contre.
Mais que l’on vienne nous expliquer que le genre est relatif et dépend du bon vouloir de chacun, cela suffit !
De plus il ne dit pas qu’il ne poursuivra pas ce qui a été précédemment enclenché, mais qu’il le fera autrement en prenant bien soin d’expliquer aux parents (avec une novlangue 2.0), comment le gouvernement compte apprendre à nos chères têtes blondes que les filles c’est comme les garçons et qu’ils peuvent être interchangeable sur le marché du travail.
Et ça c’est la version soft, parce que une fois que le verrou parentale aura sauté (car ils ne veulent que notre consentement, pacte ?), on nous dira qu’il n’y a plus besoin de procréer puisque des femmes à l’autre bout du monde ou dans le quartier d’à côté le fera pour nos femmes qui veulent faire carrière (lutte des classe entre femmes ?).
Elles auront aussi la possibilité de faire congeler leur ovocyte, si elle veulent enfanter après 60 ans et une vie de travail bien remplie.
Pendant ce temps les hommes n’auront plus qu’à vendre leur semence pour ces dames (ou autre LGBT), faire le gigolo pour des cougars liftées jusqu’aux oreilles et en mal d’altérité masculine, parce que les sextoys ça va bien 5 minutes mais ça ne fait pas la conversation.
Enfin bref j’en oublie, tellement le nombre d’offre marketing ne manque pas en dehors des limites de l’imagination humaine. Tout ça bien planqué derrière un discours pseudo-humanisto-égalitariste des plus pervers !