Je confirme !!!
Voilà près de quatre ans que je suis passée à un autre mode contraceptif et je réalise aujourd’hui combien la pilule a pesé sur mes états émotionnels.
On parle souvent des effets physiques (prise de poids, acné etc...) mais lorsque vous expliquez à votre médecin que vous vous sentez déprimée, atone, on vous répond que c’est dans la tête !
J’ai d’ailleurs remarqué, et je crois ne pas être la seule, que les gynécos ont le geste facile lorsqu’il s’agit de prescrire ce poison quotidien, mais combien ils se montrent réticents, menaçants voire hautains quand on commence à remettre en question cette prise régulière et massive d’hormone...
Pour changer de contraception, j’ai changé de gynéco. Celle-ci, une féministe convaincue, ne voulait pas entendre mes arguments.
Cet camisole hormonale est une aliénation dont les pseudo féministes parlent peu voire pas du tout. On se demande bien pourquoi...