Afrique du sud : la guerre des gangs dans les townships du Cap
15 décembre 2017 11:18, par Jean Le Chevalier
Cela fait 24 ans que les noirs ont les clés du pouvoir, ils peuvent désormais diriger le pays comme ils veulent. Cet échec est leur échec, pas celui des blancs.
La violence est d’abord un manque d’éducation, de valeurs, de respect d’autrui, et on le voit chez nous où les pauvres ne sont pas forcément violents et décadents, mais où les racailles sans éducation, sans limite, sans respect, sévissent dans des zones délaissées par les autochtones et par les acteurs de la société du fait de la violence qui y règne. Les parents et l’éducation nationale sont les premiers responsables...ensuite on peut légitimement dénoncer les faiblesses de l’Etat à réprimer et à canaliser cette violence.