La gauche anti-Blancs et anti-flics prise de court sur les réseaux sociaux
30 décembre 2017 21:15, par RobespierreSoral parlait, il y a déjà quelques années, de ce gens qui rêvent de violence et incitent à la violence. Souvent ce sont en réalité des pleutres, des matamores, qui n’ont jamais expérimenté ce qu’est une bagarre de rue. Les romantiques bobos, façon Dudule, échappent fantasmatiquement à leur vie atone de métrosexuels genrés.
Malheureusement, il ne savent pas de première main ce que l’on ressent quand on prend une danse. La douleur du visage tuméfié et des ecchymoses du lendemain. C’est le commencement de la sagesse en matière de brutalité physique. Et celui du véritable courage. On ne va ensuite au charbon qu’avec une bonne raison, après avoir utilisé toutes les autres voies, y compris celle de la retraite. Deux ou trois bonnes bonnes bastons, et quelques défaites, enseignent à l’homme qu’il faut se méfier des slogans tels que « mieux vaut mourir debout que vivre à genoux ». Il faut d’abord survivre pour espérer gagner. Seul les demeurés et une poignée d’alcoolisés s’acharnent à chercher la castagne pour la castagne.
Mais les puceaux de la vie, à grosse tête sur des épaules de serpent, avec une touffe sur la tête propre à se faire empoigner et écraser le pif sur un genou, tabassent sur leur console et regardent trop de films d’action. De là leur empressement à pousser à l’affrontement. Le pisseur bourgeois, portant l’écharpe comme Barbier de L’Express, se voit toujours vainqueur. Au moins le « réalisateur » de navets embourgeoisé est monté sur un ring... à 50 printemps. Ça n’a pas du être aussi dur que l’hiver à Stalingrad. Je ne doute néanmoins pas que si on lui chourave ses polos Lacoste et son Aïe-pode, il ira pleurnicher auprès de la maison poulaga tant honnie.
Finalement le vieux Brassens avait raison.