Les archives de Woody Allen révèlent une prédilection pour les très jeunes filles
6 janvier 2018 11:49, par manuToulouse
Merci de publier mon commentaire.
Je trouve ER tendancieux sur ce coup : l’article original parle de "jeunes filles" que vous reformulez en "très jeunes filles".
Mais ce n’est pas un scoop ! La moitié de la littérature concerne des jeunes filles réelles ou féeriques dont l’auteur, en général masculin, s’amuse à les pousser sur le chemin d’hommes plus ou moins accomplis.
Tous y sont passés, à commencer par les Français : Chateaubriand et sa Sylphide qui le pousse au délire ; Lamartine qui bave abondamment devant les gamines de ces hôtes en Orient ; sans parler des filles à Papa et des princesses éconduites de Balzac, ça serait trop long ; Bloy et sa pauvre Clotilde ; Bernanos et sa Mouchette ; Mirbeau, ses soubrettes et la très allumée Clara dans ’Le Jardin’ ; Aymé et sa Vouivre à tomber par terre ; ainsi de suite..