2018 : la vraie décolonisation de l’Afrique commence
7 janvier 2018 03:05, par Francois DesvignesNous avons ouvert l’Europe à l’Afrique pour la plus grande perte de l’Afrique et la plus sûre ruine de l’Europe.
C’est l’inverse qu’il fallait faire.
Ouvrir l’Afrique aux élites européennes blanches pour qu’elles viennent y apporter leur formation, leur expérience et leurs capitaux pour y construire l’indépendance et la prospérité de l’Afrique.
L’Afrique noire n’a pas voulu ou même seulement imaginé construire l’Afrique avec ne fut-ce qu’un seul blanc préférant l’aide internationale (payante et détournée) et l’anonymat des multinationales (venus pour piller et non construire).
En fait, l’histoire s’est répétée : moyennent quelques verreries à des rois nègres, il a été organisé la saignée de l’Afrique par une nouvelle déportation , hier appelée esclavage, aujourd’hui immigration.
Nous rendrions un service à l’honnêteté et à l’Afrique en renonçant à lui voler ses fils sous couvert d’humanisme.
Et les élites africaines rendraient un service à l’intelligence et leurs tribus, en recrutant leur encadrement manquant dans les pays blancs, formés, expérimentés, et capitalisés.
Cette politique n’est pas une utopie : elle a eu ses précédents et ses succès, car c’est exactement celle entreprise en son temps par Louis XIV pour la France, ruinée par la fronde : le roi a interdit l’exil de ses sujets en Espagne, et a offert la franchise fiscale à perpétuité à toute la science et la technique européenne.
Par exemple, tout le réseau hydraulique des bassins de Versailles est une oeuvre....entièrement italienne !
On a oublié cette loi de la paix et la prospérité publiques : on ne doit autoriser et favoriser que l’émigration et l’immigration des élites, jamais du non qualifié qui doit être secouru, aidé, formé et s’enrichir que sur sa terre.
Si j’étais noir d’Afrique, je dirais qu’on doit faire venir des blancs qualifiés avec leurs familles, en leur offrant une situation et un avenir sur nos terres.
Et je ferais de l’exode de mes frères, un crime.
Car alors, un siècle plus tard, notre continent sera le plus puissant du monde.