Un SDF sur quatre est un ancien enfant placé
8 janvier 2018 14:31, par Francois DesvignesFrance Inter...info : la bonne blague.
Sous titres de la propagande :
"Vous voyez il y a plus malheureux que vous ! Vous avez d ela chance !
"Vous comprendrez en conséquence qu’on s’occupe d’eux avant vous.
"Vous devez admettre que vos revendications éventuelles sont indécentes en face de leur détresse actuelle, persistante et très douloureuse.
" Le gouvernement fera l’impossible pour gérer l’une et l’autre votre revendication indécente et leur détresse insupportable.
’ Vous devez participer à cet effort sans précédent devenu cause de l’année 2018 !
" Le Conseil des sages (composés de sages qu’on rémunère pour reproduire sagement nos desiderata ) a suggéré une augmentation de 2 points de la CSG pour résorber cette détresse dans une des plus grandes démocraties modernes grâce à nous, vos gouvernants.
" L’A.N. (composés de gens vénaux que l’on remunère pour entériner nos projets) devra se prononcer sur la loi "anti pauvreté de rue" à la session d’automne (où elle sera votée)
" Sa mise en application est prévue pour janvier 2019, comptetenu des contraintes calendaires (des élections).
CONCLUSION :
d’ici 2019 vous ne pouvez pas discuter du projet sans porter atteinte aux prérogatives de l’Assemblée, non plus que vous plaindre de la mise en supens de vos revendications secondes puisque venant après celles de leur détresse urgentes-non résolues.
à partir de 2019, vous aurez le droit de vous taire car vous ne pourrez plus émettre aucune critique sans offenser la souveraineté parlementaire, toute critique de votre part devenant une critique de la loi votée, non plus que de maintenir vos revendications, la résorption de la détresse urgente n’ayant laissé aucun budget au règlement de vos revendications secondes (et toujours indécentes).
A vos moments perdus, electeurs LREM, vous nous conjuguerez le verbe se faire enculer mais seulement à la première personne de tous les temps et tous les modes.
Merci.