C’est désopilant et ensorcelant. Toujours cette obsession accusatoire dans l’oeuvre. Dommage, on ne comprend pas trop Hitler (sauf chez les chti’ canadiens) mais l’accent suffit à en faire un ressort comique. Marlon Branleux c’est comme la Shoah, s’il n’existait pas il faudrait l’inventer.