La justification de l’impossible oblitère la justice. Alain Soral dit bien que la Shoah a pour but de la domination d’une politique d’exactions et de racket.
Selon Steiner, nous trouvons dans Kafka des déguisements bizarres préfigurant beaucoup de choses qui étaient, au moment où ses livres sont apparus, claires à très peu de gens. La dictature fasciste était, pour ainsi dire, dans les os des démocraties bourgeoises, et Kafka décrivait avec un pouvoir imaginatif merveilleux les futurs camps de concentration, l’instabilité future de la loi, l’absolutisme futur de l’appareil d’État, la paralysie, la motivation insuffisante , les vies empêtrées de nombreuses personnes ; tout est apparu comme dans un cauchemar et avec la confusion et l’inadéquation du cauchemar.
Avec l’utilisation massive des sciences cognitives et de l’ingénierie sociale nous voyons se forger une véritable dictature, une déstabilisation permanente qui ne peuvent être une simple rencontre des esprits ni une transmission de pensées consensuelle. Tout doit converger vers le haut de la pyramide et les petits succubes du système s’y activent ardemment. Le feu de l’enfer sera leur apothéose et leur disparition tant ils ne peuvent s’asseoir longtemps sur la pointe d’un diamant sans que ça leur rentre inéluctablement dans le fondement.