« Le conspirationnisme n’est pas l’apanage des milieux ouvriers et des classes sociales basses, avance-t-il. Ni “un signe de stupidité naïve et juvénile”,
( Merci pour ces derniers... )
"il touche tout le monde, n’est “ni une maladie, ni un délit, ni une idéologie, le conspirationnisme, lui, toucherait toutes les catégories sociales.
"...dans l’étude de l’Ifop, le critère de la classe sociale n’est pas concluant pour déterminer le profil type de la personne la plus à même d’adhérer aux thèses complotistes.“
En d’autres termes, cela veut dire, qu’effectivement, ce n’est pas une idéologie motivée par des intérêts de "classe".
La motivation des "complotistes" se trouve donc dans l’objet-même : les clés qui ouvrent les passages occultés de l’histoire... et qui sont tout naturellement attrayantes pour tous ceux qui souhaitent comprendre (ceux qui ne sont pas encore résignés à l’idée qu’il l’est impossible).
En clair, il s’agit d’un élément constitutif de la Vérité. C’est donc là que réside son attrait. D’où sa verticalité sociologique et sa "neutralité" de classe.
Bien vu, l’IFOP.
D’où également la difficulté d’appliquer la méthode habituelle d’oppositions de classe.
Seule solution qui leur reste, aux détenteurs des mensonges et à leurs troupeaux de conformistes, ventre et libido à la place du cerveau :
> un ministère de la vérité et la rééducation forcée des masses - sous l’égide de menaces terroristes [tentative en cours]
> une dislocation sociale par la (im)migration de masse - qui rendrait ces contestations minoritaires et "dépassées" par les évenements [tentative en cours]
> une guerre généralisée "inter-civilisationnelle" pour détourner les problèmes et justifier la dictature. [tentative en cours]
Vous pourrez sauver votre âme, mais vous ne pourrez pas arrêter la dérérlante.
C’est écrit.