Ces femenistes ont tué LE PÈRE en elles.
Elles ont suivi le mauvais serpent. Elles ont donc raté leur cible et sont dans l’erreur.
Elles n’ont pas écouté la sophia, l’ayn sof en elles. Elles sont donc privées de la relation illimitée avec NOTRE PÈRE.
Elles ont suivi l’autorité du cruel iahvé, l’éternel accusateur, méchant se présentant comme le BIIEN, le FORT, le PUISSANT
Vient cependant les jours d’Epreuves où le PÈRE cherche les preuves en chacun que l’on soit homme ou femme car c’est l’âme qui est désignée et non l’apparence terrestre y compris la notoriété publique. Le paraître est un moyen et non une fin.
Chaque homme et donc mâle représente de près ou de loin un archétype du PÈRE y compris ceux qui ne sont pas père, ne le seront jamais ou qui vont le devenir.
Ces femmes en réalité n’en sont pas vraiment. Soumises, elles sont des agents, des marionnettes utilisées à des fins idéologiques.
Les hommes recherchent les femmes authentiques celles portées par les Elohim (pluriel féminin) et qui sont l’intermédiaire entre NOTRE PÈRE et son Fils donc l’homme qu’elles ont en face de lui, en face à face Autorité et Puissance, Force d’ÊTRE, expression des forces solaires.
Ces femmes-là autant dire qu’elles sont de plus en plus rares. Ces « raretés » ont accueilli en elles, la MÈRE et toutes ses émanations. Ce sont des divas, des shaktis, des prostituées divines, des Héra telle qu’Hercule lui-même en porte trace dans son nom à savoir HéraKlès, les clefs d’Héra qui lui seront confiées après ses épreuves.
La femme détient les forces lunaires de Vie pour la croissance des âmes et des corps. Elle est une initiatrice. Tout homme vibre à ses côtés et ne s’en éloigne que pour lui confirmer les trésors qu’elle porte en elle notamment la Vie et l’Amour.
L’homme lui apporte confiance et conscience que NOTRE PÊRE (JESUISQUISUIS) lui transmet en lui indiquant la direction d’où érection.
La femme transmet à l’homme sa connaissance de la dimension sacrée et secrète de la Vie via l’Amour. Ainsi Conscience (sentiment de séparation) se retrouve dans l’Amour (sentiment d’unité).
Nous sommes donc à des années-lumière avec ces donzelles femenistées, elles qui pourtant auront reçues Les Lumières encyclopédiques des Précieuses ridicules :)
Le retour aux Sources, voilà les preuves de l’Épreuve. Le vernis cul-turo mondain du femenisme s’écaille, tel un miroir invisiblement fêlé dans lequel vous irez contempler votre folie !