En 1968, Fernandel a encore le droit de chanter "Ce garçon, on dit qu’il en est"
14 janvier 2018 02:19, par goy pride
Quand je pense à Fernandel, Bourvil, Jean Gabin...à cette époque à laquelle j’associe mon grand-père, l’apparence de nos villes et villages avec cette multitude de petits métiers et commerçants divers et variés...cette époque sans téléphone portable ni internet...le naturel des petites gens...la plus grand simplicité de la vie avec un état moins invasif qu’aujourd’hui...cette époque où le franc avait de la valeur et qui permettait à un jeune ouvrier vivant chez ces parents de s’acheter sans emprunt une petite maison au fin fond de la Bourgogne avec seulement 5 années de salaires économisés ! Quand je repense à tout cela je suis pris d’un violent sentiment de nostalgie qui me fait presque monter les larmes aux yeux !