Photomontage Macron : cinq mois de prison ferme requis contre Alain Soral
26 janvier 2018 00:06, par PMJLLLe procureur est une petite femme intellectuellement falote qui ne fait que défendre son salaire (bien trop élevé pour ce qu’elle fait) et son avenir (de magistrat sans rayonnement ni culture). Elle ne pouvait faire que ça.
En effet, tout le monde sait qu’aucune peine de prison ferme inférieure à 3 ans n’est exécutée. http://www.justice-en-ligne.be/arti...
C’est dans la loi et les directives du ministère. Elle ne pourra donc pas être responsable d’avoir trainé Soral en prison avec le risque toujours possible d’avoir déclenché bêtement un retour de flamme de la dissidence. Si vraiment les juges qui suivent, veulent se risquer à cet exercice, alors, ils seront dans le même bateau qu’elle, et elle ne sera plus seule.
Par contre, si elle n’avait requis aucune peine, alors elle aurait joué le rôle du troll qui n’est pas solidaire du sens général de la magistrature bloquée dans sa posture de résistance hargneuse (mais finalement assez molle) contre Soral et ses sbires. Les juges la désavoueraient probablement en condamnant Soral (mais toujours à de la prison inexécutable à mon avis), ce qui ferait tache en interne, sur son CV, à elle.
Soral est pour la magistrature une patate chaude qu’ "on" leur relivre périodiquement. Ils savent qu’ils sont instrumentés (et c’est la seule chose dont ils ont horreur, même si pour leur part, ils n’aiment pas Soral) par un pouvoir supérieur diffus, mais, trouillards et lâches, ils redoutent chacun d’être LE magistrat qui a finalement « serré » Soral. Les juges français (et souvent ailleurs) veillent surtout sur eux-mêmes et adaptent tout (y compris les lois) en fonction de LEUR carrière à EUX. La température de la patate chaude est très importante et ils sont prêts à toutes les simagrées pour ne pas la lâcher de façon trop rapide et visible.
Le seul espoir véritable de s’en sortir un jour, est d’accumuler tellement de condamnations non exécutées, que le magistrat qui finalement mettra Soral en prison, conscient que son nom sera PUBLIE partout dans le monde dissident (où il sera grillé à vie), pourra se retrancher derrière la longue liste des antécédents du délinquant, pour se justifier.