Pour son intervention dans l’affaire Daval, le bonnet d’âne revient à Marlène Schiappa
1er février 2018 20:36, par LB
Cette affaire rejoint en tout point ce qu’Alain Soral explique depuis des années. Dans un couple, la femme opprime psychologiquement et émotionnellement, l’homme opprime physiquement. Après la goutte d’eau qui fait déborder le vase, il finit par péter les plombs, et là... lui n’aura pas d’excuse au yeux du "public".
Surtout que cette situation découle évidemment du féminisme : gonzesse à culotte qui naïvement (et malheureusement) pense qu’elle peut agir en "égale" de l’homme (voire plus supérieure), lui n’étant que le castré (il était littéralement infertile)... jusqu’à ce que l’homme la traite comme n’importe quel homme (violence physique à l’encontre de quelqu’un qui fait chier). Bref... et le pire de tout ça, c’est que ce même féminisme vient faire le charognard sur le cadavre de cette pauvre fille... Et dire que ce féminisme n’existerait même pas s’il n’y avait pas les médias pour l’entretenir artificiellement...