Pour son intervention dans l’affaire Daval, le bonnet d’âne revient à Marlène Schiappa
1er février 2018 22:29, par sedetiam
Marlène, c’est l’Ishtar des temps modernes : immisce-toi avec elle sur quelques coups fourrés et voilà que tout est inversé. La bipolaire du désir masculin sans vouloir en subir l’emprise, qui fait partie de l’ordre et génère le bazar. Un boucan en somme, puisque plus rien n’est sacré de nos jours (enfin les leurs).
Mais plus près que les mythes mésopotamiens ou babyloniens, cette envie maladive de briller au firmament au gré de ses interventions en va-et-vient assaisonnées aux concepts du « plus c’est gros et mieux ça passe », devrait la pousser à approcher les rites siffrédiens.
Quelqu’un pour lui faire dire 33 à la gironde ?