Pour son intervention dans l’affaire Daval, le bonnet d’âne revient à Marlène Schiappa
2 février 2018 11:52, par anonyme
Marlène, ce genre de pintade qui se croit arrivée à l’Olympe de la pensée et donc autorisée à nous imposer sa logorrhée féministe de petite marquise arriviste qui en d’autres temps se serait vue livrée à la soldatesque ou, au pire, aurait été guillotinée.
Quant à l’affaire Daval encore un exemple pitoyable et triste de la guerre larvée des sexes (ou des genres).
Un conseil aux hommes qui seraient tentés par la violence envers leur compagne pimbêche et agressive : FUIR, QUITTER, PLAQUER, DIVORCER, ne serait-ce que pour sauver son âme de la damnation éternelle.
Quel monde et quelle société française où vraiment tout est fait pour que règne l’enfer !...