Une honte de plus pour la France : laisser ses enfants, ses femmes françaises et ses hommes français, dans ce désespoir total qui mène à décider de ne plus vivre.
Que nos (((élites))) nous méprisent, c’est dans l’ordre des choses.
Qu’elles nous détruisent, c’est normal.
Qu’elles se réjouissent, jouissent, de nous voir ainsi nous auto-euthanasier, c’est aussi parfaitement normal.
En revanche, ce qui atteste plus profondément de notre mort, c’est qu’aucune association, qu’aucun mouvement, lié peut-être à la dissidence, n’ait ciblé ce problème.
Si des suicides massifs se produisaient parmi les migrants ou parmi les immigrés, on ne manquerait pas de voir dès le lendemain matin une association se créer pour lutter contre, et on aurait sans doute droit à un reportage BFM sur le sujet, sur le "fléau", et sur la "mission" consistant à redonner espoir à ces populations.
Mais s’il s’agit de paysans Français, de policiers Français, de chômeurs Français, tout-le-monde, c-à-d vraiment tout-le-monde, s’en moque éperdument.
> Comme si, collectivement, nous avions intégré, intérioriser, le principe de notre mort.