Trump et Kissinger, Macron et Erdoğan : Michel Drac commente l’actualité
11 février 2018 19:12, par bertin
Analyse très conventionnelle .
On apprend pas grand chose,d’une analyse
plus politiquement correcte ,qu’elle n’y parait
au premier abord .
Erdogan est clairement dans le viseur ,pour
de bonnes raisons certes,mais aussi le regret
manifeste du rapprochement avec la Russie.
Quant aux Kurdes,la responsabilité d’Israël
dans la manipulation est éludée .
Etonnant quand même .