Affaire Haziza : dégoûtée et sous pression, Astrid de Villaines démissionne de LCP
19 février 2018 01:08, par sedetiam
C’était couru d’avance : dans les castes subalternes, face au maître, le vilain - comme la vilaine - a toujours eu la possibilité de se barrer comme il l’entendait : l’on disait autrefois avoir la faculté de deguerpir la place, à savoir l’abandonner.
Le maître le sait.
Autant qu’il sait qu’il en est pire pour le serf dont le servage est aujourd’hui assuré par la rente du crédit qu’on lui octroie. Et si tant est qu’il n’ait point emprunté, de celle de la dette.
Et si tant est que ce dernier veuille s’émanciper, de le poursuivre par les juges dans un tribunal auquel il n’appartient pas.
Espérons cependant, qu’Astrid de Villaines, qui a esté en justice, ne se voit pas déboutée.