"Mon corps est en Corée du Sud, mon esprit dans mon pays natal" : le blues des réfugiés nord-coréens
19 février 2018 18:57, par social donc national
Ben oui, triste réalité que les sociétés occidentales où la liberté existe en théorie pour tous, mais en réalité que pour les ploutocrates... Il y a peut-être pas de libertés au Nord, mais il n’y en a pas non plus pour les prédateurs, et il n’y a pas non plus de sans-abris qui crèvent la bouche ouverte dans les rues de Pyongyang ! Mieux vaut peut-être une vie modeste mais heureuse au Nord que de n’être qu’un esclave exploité et névrosé au Sud, mais ce n’est qu’un avis... D’ici à ce que le flux migratoire entre les 2 Corées vienne à s’inverser, là on rigolera, et ça semble bien parti pour...