La Pologne est prête à prouver l’implication de juifs dans l’Holocauste
22 février 2018 15:45, par La Croix de LorraineAprès l’invasion de la Pologne, la poursuite de l’accord "HAAVARA" devint impossible mais, en 1940, des représentants du groupe armé sioniste "Lehi" proposent, sans succès, au chef de la division Moyen-Orient du ministère des Affaires étrangères du Reich Werner Otto von Hentig, une coopération militaire anti-britannique au Moyen-Orient avec transfert des juifs d’Europe ( y compris ceux de la Pologne) vers la Palestine.
Il est incompréhensive pour quelle raison on crache sur les Polonais , puisque c’est les sionistes du "Lehi" qui insistait sur ces déportations, sans oublier des milliers des juifs qui se sont engagés dans ce procèsus du transfert des juifs vers la Palestine.
La présence de soldats et d’officiers juifs ou d’origine juive, les "Mischlinge ", dans les rangs de la Wehrmacht - voire de la SS - est bien attestée, particulièrement par l’ouvrage de Bryan Rigg - « Hitler’s Jewish soldiers » paru en mai 2002 et récompensé l’année suivante par un Colby Award alors que paraît la traduction française sous le titre « La tragédie des soldats juifs de Hitler » ( quelle tragédie évoquent-ils, puisqu’e les juifs collaborateurs avec les Nazis ont été tous bénévolement recrutés et bien payés par les Rothschild ? ? ) L’ouvrage comporte 95 photographies de « Mischlinge » en tenue de SS (« Schutzstaffel ») que l’éditeur University Press of Kansas publie en ligne.
D’après la juive Hannah Arendt, des Juifs ont bien pris une part active aux exactions des nazis, même s’il est difficile d’en évaluer le nombre exact. Quelques uns (juifs finlandais, sans compter ceux de la Pologne et de Germanie) qui collaboraient avec Hitler :
Les 4 frères Blankett
Dina Poljakoff, médaillé de la "Croix de fer" Nazi
Chaje Steinbock, infirmière soignante des soldats Nazi.
Leo Skurnik, scientifique et officier Nazi, médaillé (Croix de fer)
Salomon Klass
Kent Nadbornik