La "Jeanne d’Arc" métisse d’Orléans est victime d’un calcul oligarchique
26 février 2018 16:12, par doudou-dondaineLe père béninois de miss Aday a un bon boulot peinard, alors que des tas de Français de France n’ont pas de boulot, même dur. Pourquoi voudrait-elle être française comme Jeanne ? C’est bien mieux d’être "d’origine", le plus d’origines possibles, avec le petit supplément "femme" et jeune. On vous sert alors tout sur un plateau. Elle l’a bien compris.
Elle vise d’ailleurs "l’international" pour son avenir, ce qui n’est pas très Jeanne d’Arc, c’est le moins qu’on puisse dire. Elle n’a pas non plus la moindre idée que ce n’est pas l’Anglais (quoique l’anglais...) qu’il faut bouter hors de France, mais les parasites destructeurs qui l’occupent au sommet.
Elle ne répond que des fadaises, poursuivant son petit chemin perso.
Sa vraie force semble être la connaissance de la langue polonaise, très difficile, dont la pratique développe les neurones.
Elle est par ailleurs de la génération obamania qui a longtemps prôné le métissage, un racialisme non assumé, censé produire des gens plus beaux, plus sains, pas tarés etc. (selon Sarko l’Adonis un peu nain, lui-même produit de métissages).
Elle a bien compris qu’elle pouvait surfer sur cette mania, de même que sur les emplois bien confortables, éventuellement les réseaux, de ses deux parents étrangers (oups, il faut dire : d’origine étrangère), pourtant réservés en principe, partout dans le monde, aux nationaux.
Jeanne d’Arc a été dark, quand même une fois, suite au bûcher.