Christophe et Stéphanie, agriculteurs reconvertis dans la vente directe
3 mars 2018 19:56, par Sektor
Je ne vais pas vous dire que c’est mal, bien au contraire, mais franchement, c’est du bouche trou.
Ces gens parce-qu’ils avaient de la main d’oeuvre pas cher dispo (c’est à dire eux mêmes) sont devenus pluriactifs, en fait il ont un autre métier en plus d’être paysan.
C’est très bien, mais vous croyez que tout les paysans de France vont pouvoir se retrouver tout les jours au marché avec du lapin et du mouton ? C’est une niche...
Le problème de fond demeure, ils ne peuvent pas vivre par l’activité céréales. Prix mondial avec contraintes françaises ça ne marche pas. C’est comme dire à un commercial de chez Mercedes qu’il doit vendre au prix Dacia... ça ne marche que s’il fait aussi une Dacia...