Facebook perd 70 milliards de dollars de capitalisation
29 mars 2018 14:04, par marlon branleux
Ça s’annonce mal pour le petit "non-catholique" Zuckerberg qui se rêvait président of the united states en 2020 face au grand méchant Trump. Ça ne m’étonnerait pas que quelqu’un à Washington ait plus ou moins révélé ce qu’il ne fallait pas révéler concernant le "camp du bien".
Les tenants du NOM veulent faire face à Trump, or, ils ont tous quelque chose à se reprocher :
Si Soros ou un Sorosite qui se présente à la présidence, on mettra en avant les liens entre les organisations de Soros et les différentes déstabilisations dans le monde.
Si c’est Bill Gates : on ramènera sur le tapis sa gestion assez familiale (au sens de maffieuse du terme) de Microsoft.
Si c’est Lloyd Blankfein ; on aura qu’à rappeler aux électeurs combien sa banque a touché pendant la crise de 2008 tandis qu’eux dorment dans des cartons.
Si c’est un progressiste de Hollywood ; on peut toujours trouver une nouvelle affaire Weinstein.
Quand on se veut être le chantre d’une organisation aussi anti-humaine ; fatalement, dès qu’on sort du bois, on est pas très attirant pour l’électeur (même moyen) : le bellicisme américain à l’état brut qu’était Hillary Clinton en a été la première à faire les frais.