Le macronisme, cette idéologie de l’individualisme béat et indigne qui ne dit pas son nom
3 avril 2018 14:08, par quidam populus. " [...] À chaque fois, la responsabilité sociale est niée et tout repose désormais sur l’individu, isolé et stigmatisé. [...] ".
L’individu, isolé et stigmatisé c’est Macron, fils naturel et spirituel de la City. Naturel, parce que son lien avec celle-ci est du même ordre que, par exemple, Bill Clinton qui un Rockefeller... car il suffit de s’interroger : à qui appartient la Cité-Etat ? Quel hasard peut avoir permis à Jupiter d’être Banquier ET actionnaire chez R. ? Par quelle autorité alchimiste peut-il se retrouver parachuté à place du trône des Rois de France ?
. Spirituel, parce qu’il incarne cet "Homme nouveau" né de la Renaissance talmudique, des Lumières et de la Révolution française maçonnique, ect.... Dès lors c’est l’HUMANISME qui trône et avec lui, le déisme (versus théisme) : la primauté de l’homme, l’homme déifié, l’homme fond de toute chose. D’où l’individualisme forcené qui déstructure tout notre corps humain ET social, pour finir de dissoudre ce que des siècles de labeur et d’intelligence collectifs avaient peiné à bâtir.
Alors, oui Macron à commencer par lui-même, a une idéologie faussement béate, plus qu’indigne parce que mortifère, et "sa" politique, elle, continue de remplacer implacablement ce qu’il reste de la France sociétale traditionnelle, familiale, organisée solidairement autour des structures protectrices de son Etat-Nation, lui même reposant sur ses oratores, ses laboratores et corporations de métiers d’échanges marchands, libres mais étroitement liés pour le meilleur comme pour le pire (aléas, faillites, ect...).
Hélas, ce tissu humain qui avait fait ses preuves jusqu’à bâtir une civilisation riche, exemplaire à biens des égards et porteuse d’avenir, a subi un assaut destructeur historique incommensurable, voyant sa "tête" tranchée et dont le peuple et ses héros (bellatores : cf. A. Beltrame) vivent encore aujourd’hui les ondes de choc à intervalles réitérés.
Cet article du HP, politiquement correct comme d’habitude, optera une fois encore de ne pas vouloir dire son nom, à une cause profonde (comme l’Etat éponyme), qui en porte un. Pourtant, l’heure grave vient où l’omerta ne sera plus permise... ou bien quoi ?
Merci E&R ;)