Allemagne : un véhicule fonce dans la foule à Münster, au moins quatre morts
8 avril 2018 11:49, par on ne sait toujours rienL’information, qu’on n’a aucun moyen de vérifier, comme d’habitude, est partout tronquée, affadie, déguisée, fumeuse. On a identifié les deux victimes : qui est-ce ? Un homme, une femme, 51 et 65 ans. On n’en saura pas plus.
Qui est le bonhomme "fragile" suicidaire ? Il se prénomme Jens, paraît-il. Les autorités pourraient fort bien lui attribuer n’importe quel prénom de souche ou assimilé, pour désactiver les réactions normales d’un peuple submergé de "migrants" et autres étrangers, légalisés ou non. "C’est un Allemand, pas un réfugié comme on l’a dit." clament les médias. Qui l’a dit ? Les premiers témoins, probablement. Ceci semble indiquer qu’il n’est pas perçu visuellement comme "allemand", bien qu’il en ait la nationalité, voire un prénom d’"assimilé".
L’attentat (contre des inconnus et des vies, qu’il y ait ou non motivation politique) a bien eu lieu, il y a des témoins, un café, des photos et, officiellement, deux morts (probables, mais en fait, on n’en sait rien). On ignore les réactions des témoins, leur description de ce qu’ils ont perçu, vu ou cru voir, entendu.
Cette rage de ne jamais rien dire, d’euphémiser tout, de cacher avec système les faits précis, les noms, la description physique (sauf pour l’âge et le sexe) des protagonistes de tels drames menaçants pour la société, est malhonnête. de même que minimiser les actes des criminels décrits comme "fragiles". C’est nous qu’ils tuent, à la fin ! Les mots existent !
On n’a jamais vu un nourrisson (fragilissime donc) massacrer qui que ce soit.
A quoi servent les grands médias ? A faire de la pédagogie ? Nous ne sommes pas des enfants, ni des animaux de trait ou de traite, les criminels non plus !
Pédaglosez entre vous, laissez les vrais professionnels publier les faits exacts !