Coluche, Bérégovoy, Boulin, Merah, Beltrame : un CRS accuse l’État
5 mai 2018 22:18, par pleinouest35Le combat d’Eric Fiorile du Conseil National de Transition de France fut celui d’une arrière-garde populaire qui intervient tardivement et se heurte au conditionnement de masse consolidé par les médias. Depuis le début, ces gens vont au casse-pipe dans l’indifférence totale, je subodore qu’ils en ont parfaitement conscience. C’est vraisemblablement pour eux le prix à payer pour conserver une intégrité morale qui devient extrêmement rare. Ce qui est intéressant dans ce sacrifice d’un autre temps, c’est de considérer cette affaire comme un épiphénomène, avec l’inévitable internement psychiatrique largement utilisé en URSS (le CRS Marc Granié interné : https://www.youtube.com/watch?v=aym...). Autant les arguments de ces utopistes semblent nobles, les analyses souvent pertinentes, autant personne ne peut impunément s’attaquer frontalement aux banques et aux intérêts industriels (https://www.youtube.com/watch?v=Wn7...).
Les Français avaient dit non au Traité de Lisbonne, alors ne pas en tenir compte signifiait déjà que nous n’étions plus à ce moment-là en démocratie. Et nous ne le seront jamais, René Guénon en fit la meilleur démonstration métaphysique tout au long de son œuvre. Le mécontentement populaire sera donc une fois encore contenu, de quelque façon que ce soit, avec le risque de guerre civile qui n’est pas à écarter, peut-être recherché avec le rôle trouble attribué aux « black bloc ». Cependant, le vrai danger pour le pouvoir des banques ne vient pas du peuple, mais des policiers et des militaires qu’il bafoue, je pense au sympathique général Piquemal qui s’est fait arrêter comme un vulgaire voyou quand il déclamait son amour de la France ! Ces personnes ont souvent un sens de l’honneur excessif, certes nécessaire pour la cohésion nationale en temps de guerre, mais qui est radicalement incompatible avec les manigances politiques et le non respect de la parole donnée qui caractérisent le monde de la finance apatride et immorale. Eric Fiorile est allé encore plus loin en franchissant la ligne rouge de l’énergie libre, notamment l’effet Dumas pour lequel il a marqué un vif intérêt. Pour celui qui veut bien regarder, notre société est proche du film Invasion Los Angeles réalisé par John Carpenter et sorti en 1988, du moins pour l’aspect des techniques de manipulation et de désinformation.