Nucléaire iranien : Ali Khamenei pose ses conditions pour sauver l’accord
25 mai 2018 04:15, par quidam populus" En réaction aux propos des responsables russes qui avaient appelé les forces iraniennes et le Hezbollah à quitter la Syrie, il a déclaré : « Nous ne quitterons jamais la Syrie, car c’est le gouvernement syrien qui a consenti à notre présence. » Amiral Chamkhani.
Léger souci : n’est-ce pas ce que demandait précisément V. Poutine à B. El-Assad, ce dernier lui faisant part, au contraire, de sa volonté de résister et de s’opposer plus fermement aux agressions de l’entité sioniste ?
B. El-Assad, bien que n’ayant pas refuser d’accéder à la demande V. Poutine, n’avait-il pas laissé transparaître toute la difficulté qu’il aurait pour réussir à convaincre les iraniens de quitter la Syrie (et autres requêtes posées lors de l’entretien dual) ?
Maintenant nous avons là la suite, somme toute assez logiquement attendue, à la position surprenante, taxée de faiblesse par certains, à l’encontre des dernières positions de V. Poutine, qui visiblement très pragmatique, cherche à tout prix à privilégier la voix diplomatique, de la non provocation au travers de l’esquive stratégique, et celle de l’attentisme "actif", par le rachat de temps calculé afin de mieux préparer l’"échéance éventuelle", que chacun imagine sans aucune imagination débordante...
Alors, quid du fait que les positions habituelles de l’"axe du mal" non seulement n’ont pas bougé, mais vont au contraire dans le sens de l’enkystement et la radicalisation ?
V. Poutine a-t-il d’autres cartes dans sa manche pour faire entendre sa nouvelle stratégie ?
Difficile à prévoir tant les positions se cristallisent de toutes parts...
Une chose demeure à peu près certaine, avec Bibi préparant sa tactique en QG souterrain... ça sent tout sauf "la paix des braves"...
2018 semble être une année "clé"... et il n’y a pas que cet été qui "sera chaud dans les T-shirt dans les maillots" comme le dit la chanson !