Vincent Reynouard – Du mariage royal (2018) à la "Pentecôte sanglante" (1944)
25 mai 2018 02:13, par Robespierre
« En ce temps-là, pour ne pas châtier
les coupables, on maltraitait des
filles. On allait même jusqu’à les
tondre. »
Comprenne qui voudra
Moi mon remords ce fut
La malheureuse qui resta
Sur le pavé
La victime raisonnable
À la robe déchirée
Au regard d’enfant perdue
Découronnée défigurée
Celle qui ressemble aux morts
Qui sont morts pour être aimés
Une fille faite pour un bouquet
Et couverte
Du noir crachat des ténèbres
[...]
— C’est de l’Eluard. Merci mesdames et messieurs.