Crise de l’UE : George Soros tente de sauver les meubles du mondialisme
1er juin 2018 10:20, par anonyme
Demander son avis politique à un prédateur psychotique et sénile, investit dans l’hyperspéculation à l’échelle planétaire, c’est se définir en tant qu’hôte. Et c’est se définir en tant qu’ennemi des populations victimes de cette tyrannie internationale qui sévit sous l’acronyme UE. La seule préoccupation du capitalisme c’est la préservation dans l’illimité de sa marge de profit, et pour cela il doit pouvoir déplacer ses capitaux là où c’est possible, sans jamais se préoccuper des dégâts. Les friches industrielles sont là pour matérialiser ce fait, qui ont draînées un temps et jusqu’à épuisement l’énergie de l’endroit, puis l’ont abandonné pour un autre. C’est de cela que l’UE est le nom.