Consignes, pressions, menaces : comment l’Éducation nationale gonfle les notes du bac
18 juin 2018 21:32, par JeanBill
J’ai eu mon Bac S en 2002 et c’était déjà une vaste blague.
Dans une zone où les profs était soit pistonnés, soit à la limite de la maison de repos pour "dépression".
Mon jugement est sûrement biaisé, mais je tire plus de fierté de mon CAP de menuiserie obtenu en un an après avoir végété 6 mois à l’université.
Le bac fonctionne de la même manière que les contraventions ou les régularisations d’immigrés ( faut dire "exilés" de nos jours, pardon...) : c’est des quotas que les gouvernements se doivent d’honorer pour garantir la fameuse "paix sociale".
A trainer ici on doit tous être conscient du problème : "du pain et des jeux tout en faisant barrage à la haine et aux lubies des conservateurs et autres réactionnaires"
Le sang et la sueur !
Bordel !
PS : Tonton, il est pour quand le prochain bouquin ?