L’OMS reconnaît le "trouble du jeu vidéo" comme une maladie
19 juin 2018 22:09, par Greyfox Sylver
Ridicule.
Il n’y a aucun processus chimique qui pousse le cerveau à une prétendue "addiction".
Le jeu-vidéo n’est qu’un média et un loisir, celui qui y passe beaucoup (trop ?) de temps, se réfugiera dans le cinéma ou les romans, soit un autre média pour fuir ce monde qu’il abhorre profondément.
Quelle est la suite donc ? Prétendre à une addiction à toute forme d’intérêt pour la fiction ?
Dans une ancienne émission radio, Christian Spitz (médecin), expliquait bien que le problème était ailleurs. C’est la cause qui est sociale, non pas la conséquence.
Je rajouterais, que je ne comprends pas la position d’E&R, qui a toujours défendu la vérité à travers la dialectique, et qui pourtant, est dans la critique systématiquement négative du jeu-vidéo (ce qui rejoint la position du système politico-médiatique), notamment à travers Adrien Sajous, dont pardonnez-moi, il serait aisé d’apporter la contradiction.