Procès des proxénètes de cité qui recrutaient des jeunes filles via Instagram
26 juin 2018 14:45, par Min
Des gamines un peu délurées qui rêvent de consommer "d’la marque" comme les pétasses dans les clips de rap.
A ce jeu-là, c’est elles qui sont consommées, voire consumées.
Il y a les mêmes en Afrique. Elles finissent par mettre au monde un petit métis et réclament le jack-pot en termes d’indemnités, de pensions alimentaires.
Hélas, elles sont les premières victimes corrompues par l’argent facile.
Je ne défends pas les proxénètes. Néanmoins le constat est là, les filles sont volontaires. Si elles avaient été mieux traitées, je ne sais pas si le procès aurait eu lieu.