Dieudonné – Raptor, Soral et Cacahuète
27 juin 2018 15:07, par Sedetiam
De toute façon, rien qu’à l’évocation des quatre premières notes du « Chaud cacao » d’Annie CORDY, c’est plié : de rire.
Les mecs peuvent donc arrêter de pondre des arrêtés.
C’est le jour où les cerveaux feront inéluctablement le lien entre leurs milliards gaspillés et ces quatre notes, que certaines scènes, qui se prêtent à d’autres comédies, s’arrêteront.