Pour certains interviews avec les média indélicats du système, AS prenait la peine de doubler leurs enregistrements, ceci à des fins d’analyse, de pédagogie ou de preuves...
Certes la vidéo n’est pour le moment pas autorisée, à dessein bien compris des propriétaires du pouvoir de Justesse, lequel a été rendu par ces derniers, totalement régalien, quasiment en premier et dernier ressort, i.e. ayant été substitué petit à petit, au gré de l’avancée des lois liberticides, aux pouvoirs traditionnels et constitutionnels, faisant de la ripoublique celle des juges, et au nom du DRÔAAT de l’homme, désormais, des abus permanents en tant que nouveaux principes décomplexés, i.e. éhontés...
Dans cette affaire, la question est : est-il légal d’enregistrer sous une autre forme que vidéo (discrètement ou non) les débats d’un procès ? Que dit la jurisprudence actuelle sur le sujet ?
Cela m’évoque, notamment, l’affaire du Maître d’Hôtel de la rombière-pompe-à-fric des puissants (fric ne servant pas que pour la politique mais "des" politiques de loges, à l’opposé de l’intérêt commun de l’idéal républicain tel qu’affiché).
http://www.leparisien.fr/bordeaux-3...
Pourquoi, quand cela arrange nos Elites, des éléments probants sont considérés comme valides, exploitant les zones grises juridiques, lesquelles sont mouvantes "selon que vous serez puissants ou misérables..." dixit Victor Hugo.
Le misérable, c’est encore davantage maintenant, le peuple spolié en justice et équité de traitement, et quand certains courageux en son sein s’organisent et se rebiffent, tel AS, on ne peut que constater toute l’étendue, le mépris, la morgue et l’iniquité étalée par nos puissants.
Oui, il va falloir monter encore d’un cran le niveau des moyens d’opposition à cette chienlit anti-peuple, jusqu’à la délivrance de ce dernier... laquelle finira par survenir tant nous descendons (trop) bas et (trop ?) vite aujourd’hui.